Revue de presse


« Lorène de Ratuld, qui travaille en orfèvre des sonorités rares, prouve une fois encore qu’elle est une des jeunes pianistes qui comptent, et qui montent. »
Classica-Répertoire, février 2007

« La jeune pianiste nous offre une lecture très convaincante, un investissement constant au fil de ces trois mouvements. […] Une musique pour piano qui coule aussi aisément sous les doigts qu’à l’oreille, dont Lorène de Ratuld s’approprie le flux avec un naturel confondant. »
Diapason, février 2006

« Lorène de Ratuld restitue avec élan et éclat cette partition contrastée, alternant motorisme jazzy et suspensions méditatives nimbées de mélancolie… »
Libération, 3 février 2006

« Une seconde œuvre de Félix Ibarrondo, Barca Lorca, fut créée sous les doigts de la jeune Lorène de Ratuld, impressionnante dans sa précision et dans sa maîtrise pour cette œuvre tendue à l’extrême. »
La Lettre du Musicien, 2ème quinzaine d’octobre 2005

« Cette jeune pianiste française éblouit par son jeu raffiné et très expressif. »
Classica-Répertoire, octobre 2004

« Lorène de Ratuld s’est attaquée avec talent au Lied de Robert Schumann « Widmung » dans la transcription pour piano de Franz Liszt. De même, elle a trouvé une manière convaincante d’aborder la Sonate en ut mineur n° 20 de Joseph Haydn. Avec finesse et virtuosité à la fois, elle laissa de côté tout transport romantique pour faire apparaître Carl Philipp Emmanuel Bach, modèle de Haydn, au premier plan. »
Westdeutsche Allgemeine Zeitung, 30 juillet 2002

« Lorène de Ratuld imprimait à la Sonate de Dutilleux une poésie remarquable. C’est avant tout le caractère envoûtant de l’œuvre, les sortilèges cachés dans cette musique que l’interprète a voulu rendre. Pour autant, l’œuvre ne perdait rien de sa puissance hiératique grâce à une pensée architecturale toujours en alerte. Le Nocturne op. 55 n° 2 permettait à Lorène de Ratuld d’exprimer la noblesse de son style. »
La Lettre du Musicien, 2ème quinzaine de juin 2002

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